Le parc... La tranquilitée absolu, lorsqu'on ne venait pas vous derangez sans cesse. Oui, bien sûr que je parlais des gamins braillards qui s'amusaient a ce lancer de l'eau sur la figure...
** un jour, ce sera un sort qu'ils se recevront dans la figure, rien que pour qu'ils se taisent!!!**
Non mais c'est vrai, il y avait de quoi en avoir marre... Ils étaient toujours là, a hurler comme des cochons qu'on égorgent et a faire leurs interressants. Pourtant, ils n'étaient rien du tout. Rien de chez rien du tout. Ils étaient tout simplement ridicule, ils me faisaient pitiés.
Mes parents les verraients... Je n'ose même pas imaginer leur tête. Ils avaient horreur eux aussi de ces sales gamins, surtout les moldus. Je venais d'une grande lignée de sang pur faut dire aussi... Oui, aucuns moldus ne mettaient les pieds chez nous, il serrait tué sur-le-champs. De toute façon, je voyais mal mes frères tombés amoureux de moldues. Jason, Mark et Cameron ne mettraient jamais les pieds dans la même famille qu'une moldue, c'était plus que sûr. Mes frères ont tous finis au service de Dumbledore, le plus honorable de seigneur des ténèbres. Je marchais lentement, les mains dans les poches de ma robe de sorcier. Le soleil tappait fort, j'en avais mal a la tête, mais j'avancée d'un pas normal, sans rien laisser paraître. J'entendais toujours les gamins derrière moi. Une minute plus tard, je reçu une infime goute sur l'oeil. J'etais trop contente : j'avais un pretexte pour m'approcher et leur dire deux mots, même si avant, c'était juste que je n'avais pas eu envie de bousiller ma belle voix a geuler. Donc, je m'arretais et les regardaient d'un regard meprisant. Un regard que je reservais uniquement aux sales mioches de leur genre. Je me retenais de leur lancer un sort d'assourdiato d'ailleurs. Ils étaient plus bruillant qu'un lave linge en force 10 000. Je continuais mon chemin, jusqu'a un arbre, près du bord du lac. J'enlevais mes chaussures et mes chaussettes et trempaient mes pieds dans l'eau. Je me concentrais sur le paysage pour oublier les bruits alentours. Le moindre son des gamins, ou des feuilles qui crisaient sous les pas des élèves qui marchaient dessus -car on était en Automne- ne me parvenait plus. Je sentais une paix, un silence merveilleux. Puis, tout me revins d'un coup, et j'eu l'impression que ma tête allait explosé. Je me retenais de crier de douleur et serrait les dents. Pour me calmer, je pris un livre dans mon sac et me mit à lire...